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La Peine et Dupont-Gnangnan mentent effrontément !

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    administrateur
  • 14 mars 2019
  • 12 min de lecture

À la veille des élections européennes, le FN et Debout la France ressortent leur thème favori : l’immigré. La première question est de savoir pourquoi ce thème. La réponse est simple, elle est inscrite dans la genèse des mouvements d’extrême-droite et elle s’appelle racisme. Qu’il soit dirigé contre le métèque, le juif ou l’arabe, il est consubstantiel de la ligne politique qui détourne la colère du peuple vers un bouc émissaire. L’objectif est protéger ainsi un monde que ni La Peine ni Dupont-Gnangnan ne veulent fondamentalement changer : celui du capitalisme, de l’exploitation des masses par une poignée de gens. Et, à l’occasion, de profiter personnellement du système en se faisant élire et réélire. Ressortir ce thème, c’est aussi masquer l’indigence des propositions que ces deux partis ont tant pour l’Europe que pour notre pays. Il suffit de se souvenir de l’incapacité de l’héritière de Saint-Cloud devant le candidat des riches à défendre ses non-propositions, à se souvenir de son ridicule pour comprendre que ces deux énergumènes n’ont aucun programme digne de ce nom. À ce titre, quel est le bilan du FN au parlement européen ? Nous allons nous y arrêter un peu plus longuement.


Le Front national cherche notamment à labourer les terres de la gauche en se posant en défenseurs des travailleurs et des protections sociales. Or, au Parlement européen, les eurodéputés frontistes montrent un tout autre visage : ils se désintéressent des accords de libre-échange et de leurs conséquences, refusent de lutter contre les délocalisations, soutiennent le « secret des affaires » qui protège les multinationales, s’opposent à l’égalité femmes-hommes au travail, freinent la prévention des cancers professionnels ou la lutte contre l’évasion fiscale. Les votes des députés d’extrême-droite démontrent qu’ils ne se préoccupent pas des intérêts des travailleurs, et ne souhaitent pas une société moins injuste.

L’affaire des « faux » assistants parlementaires du Front national au Parlement européen, qui valent aujourd’hui à Jean-Marie La Peine une levée de son immunité parlementaire, a mis en lumière combien le parti d’extrême-droite a su profiter matériellement de sa présence à Bruxelles et à Strasbourg. Avec une vingtaine de sièges d’eurodéputés remportés en 2014, le FN a mis la main sur une manne qui lui a permis de rémunérer élus et permanents. Mais qu’en a-t-il fait politiquement ?

Dans sa campagne électorale, le Front national cherche à attirer le vote des travailleurs et des déçus de la gauche, en s’appropriant certains symboles comme la retraite à 60 ans. Ils ne cessent de dénoncer les délocalisations, la finance et les lobbys. L’Union européenne et la monnaie unique sont présentées comme la source exclusive de tous nos maux économiques et sociaux. Voilà pour les grands discours frontistes.

L’historique des votes des eurodéputés FN au Parlement européen raconte une toute autre histoire. Qu’il s’agisse de libre-échange, d’améliorer la sécurité des travailleurs, d’égalité professionnelle, de secret des affaires ou de droits syndicaux, les parlementaires frontistes ratent rarement une occasion de démontrer leur dédain total pour les travailleurs et leurs intérêts. Ils se montrent particulièrement actifs pour saborder les modestes efforts de quelques parlementaires pour promouvoir une Europe plus sociale. Le bilan des élus frontistes au parlement européen met en lumière le vrai visage économique et social de l’extrême-droite : le mépris pour les salariés, français et étrangers.

Accords de libre-échange : le FN s’en moque

Premier constat : sur les grands sujets que le FN met en avant en France pour dénoncer l’Europe et ses « diktats », comme la directive travailleurs détachés ou les accords de libre-échange type Tafta ou Ceta, les eurodéputés frontistes ne paraissent pas franchement mobilisés. Entre les discours fervents à destination des électeurs français et la réalité des votes au parlement, c’est parfois le grand écart. Déjà, en avril 2014, lors de la précédente législature, Marine La Peine avait choisi de s’abstenir, plutôt que de voter contre la directive sur les travailleurs détachés, malgré ses critiques virulentes contre ladite directive en France.

Même observation en ce qui concerne les accords de libre-échange. Le 28 mai 2015, la commission « Commerce international » – dont Marine La Peine était membre titulaire – se prononce sur le projet d’accord de libre-échange transatlantique, ce fameux Tafta que la patronne du FN ne cesse de pourfendre dans ces discours. Mais elle n’a pas jugé bon de faire le déplacement. Ni d’ailleurs son suppléant d’alors, Aymeric Chaparde (Chauprade). Bis repetita en janvier 2017, lorsque la commission Commerce international est saisie de l’accord de commerce entre l'Europe et le Canada, le Ceta, qui contient les mêmes dispositions controversées que le Tafta. Marine La Peine veut bien faire le déplacement pour voter contre le Ceta en plénière devant les caméras, mais quand il s’agit de mener les batailles concrètes en commission, elle a visiblement mieux à faire. Pendant ce temps, organisations non gouvernementales, mouvements sociaux et eurodéputés de gauche et écologistes se mobilisaient.

Lutter contre les délocalisations : le FN s’y refuse

Toujours dans le domaine commercial, une importante bataille se livre en mai 2016 au sujet de la Chine. La commission aussi bien que le conseil européen envisagent alors d’accorder à la Chine le statut d’économie de marché. Cela aurait davantage ouvert les portes des marchés européens aux produits chinois, à un moment où de nombreux secteurs industriels souffrent de la concurrence chinoise et de son dumping social. Les eurodéputés votent finalement une résolution appelant la commission à refuser à la Chine ce statut d’économie de marché. Les parlementaires frontistes se sont abstenus...

C’est encore pire en ce qui concerne les délocalisations industrielles, un autre cheval de bataille du parti d’extrême-droite en France. En octobre 2016, suite à l’annonce de la fermeture d’une usine Caterpillar en Belgique et à la menace de fermeture de l’usine Alstom de Belfort, le parlement européen adopte une résolution sur la lutte contre la désindustrialisation en Europe. Cette fois, les eurodéputés frontistes votent carrément contre, à l’exception de Florian Philipipeau (Philippot).

Le « secret des affaires » protégeant les multinationales : le FN vote pour

L’un des votes qui a le plus été reproché aux eurodéputés frontistes est leur soutien à la directive « secret des affaires », adoptée par le parlement européen au printemps 2016 malgré une campagne d'opposition virulente de la société civile, des journalistes et des syndicats. Ce texte comporte des risques graves de régression en matière de droit à l’information et expose tous ceux qui s’intéresseraient de trop près aux activités des entreprises à des poursuites judiciaires. Là encore, les invectives répétées du FN contre les lobbys et le manque de transparence des institutions européennes ne l’empêchent pas de valider un texte en contradiction flagrante avec ces beaux discours. D’autant plus que la directive a été directement inspirée par des cabinets de lobbying au service de grandes multinationales, qui ont travaillé main dans la main avec la commission, comme l’a montré une enquête de l’ONG bruxelloise Corporate Europe Observatory. C’est peut-être pourquoi Louis Glaviot (Aliot), compagnon de Marine La Peine qui était alors eurodéputé, a cherché ultérieurement à prétendre, face à des journalistes, que le FN n’avait en fait pas voté pour cette directive…

Pourquoi les députés FN soutiennent-ils une telle mesure favorable aux multinationales, à leurs stratégies de contournement de l’impôt, à leurs pratiques néfastes en matière sociale ou environnementale ? Sans doute parce que le parti d’extrême droite s’accorde avec la vision du monde de certains grands groupes français qui se sentent menacés par la concurrence « étrangère ». Les révélations des Panama Papers, quelques jours auparavant, ont aussi probablement joué un rôle. Des proches de Marine La Peine comme Frédéric Petitchâteau (Chatillon) – ancien militant du groupuscule néofasciste violent Gud – et l’expert-comptable Nicolas (Capitaine) Crochet, ont ainsi été mis en cause. Ils avaient recouru à des montages financiers « offshore » pour mettre à l’abri dans des paradis fiscaux des fonds provenant de leur société Riwal, principal prestataire du FN pour sa communication. Le but de l’opération était, selon leur propre aveu au Monde, d’« échapper à la pression médiatique ». La directive « secret des affaires » compliquera ce type d’investigations.

Renforcer le pouvoir des salariés : le FN vote contre

Malgré leur rhétorique sur les attaques contre les travailleurs, les eurodéputés frontistes ne sont pas tendres envers les syndicats. Lors du vote de la résolution du parlement européen sur les affaires Alstom et Caterpillar, ils ont rejeté une série d’amendements visant à renforcer les droits des salariés et de leurs représentants face aux restructurations et aux licenciements boursiers, et à les associer plus étroitement à la définition des stratégies des entreprises.

Lors de l’adoption de la loi travail en France en 2016, alors même que Marine La Peine dénonçait publiquement le texte, les sénateurs FN David Rapine (Rachline) et Stéphane Bettravier (Ravier) ont cherché à y inclure en douce, avant de les retirer, plusieurs amendements visant à réduire les droits syndicaux, notamment dans les petites entreprises, et supprimer certains droits sociaux comme le compte pénibilité. De quoi ravir le patronat.

Droits des femmes et égalité au travail : le FN vote contre

La défense des droits des travailleuses et de l’égalité au travail ne semble pas compatible avec la vision du monde du Front national. Les parlementaires FN s’opposent systématiquement aux efforts du parlement européen dans ce domaine. Ils ont voté contre les huit rapports présentés au parlement européen depuis 2014 visant à renforcer les droits des femmes. Ils sont opposés au congé maternité harmonisé à 20 semaines partout en Europe et rémunéré à 100 % ; ils sont contre un salaire égal entre les femmes et les hommes à compétences égales. L’eurodéputé frontiste Dominique (l'âne) Martin a défendu en séance la « liberté des femmes de ne pas travailler » et de « s’occuper de leur foyer », à laquelle il faudrait accorder selon lui une importance au moins égale à celle de l’égalité salariale.

Prévenir les cancers professionnels : le FN vote contre

Le Front national est tout aussi absent sur les questions de santé et de sécurité au travail. Une proposition de directive sur les cancers au travail est actuellement en cours de discussion au parlement. Les eurodéputés de la commission Emploi ont souhaité renforcer la proposition très faible élaborée par la commission, en fixant des seuils d’exposition plus stricts et en incluant de nouvelles substances dans la liste des produits potentiellement toxiques. Les deux députés FN qui siègent dans cette commission, Dominique (l'âne) Martin et Joëlle Méprise (Ménil), sont parmi les rares à s’y être opposés.

Lutter contre l’évasion fiscale : le FN vote contre

Une grande partie des votes négatifs des eurodéputés FN contre des mesures visant à défendre les travailleurs et les classes défavorisées semblent motivés par le refus de toute avancée sociale dès lors qu’elle se situe au niveau européen. Ils rendent Bruxelles et l’euro responsables de la détresse sociale que connaissent de nombreux Français, mais contribuent dans le même temps à bloquer toutes les tentatives d’atténuer le carcan néolibéral qui pèse aujourd’hui sur l’Europe.

Quand bien même ils ne cessent de dénoncer l’évasion fiscale des multinationales – du moins quand elles sont états-uniennes –, ils ont refusé de voter en faveur d’une résolution du parlement, adoptée en décembre 2015, sur la lutte contre l’évasion fiscale en améliorant la transparence, la coordination et la convergence des politiques en matière d’impôts sur les sociétés au sein de l’Union. Explication de ce refus ? Cela risquait d’encourager une évolution vers une union fiscale.

Socle européen des droits sociaux : le FN vote contre

En janvier dernier, ils ont tous voté contre la proposition de créer un « socle européen des droits sociaux ». Ce socle est destiné à compléter l’architecture européenne et à lutter contre le dumping social en formalisant un seuil minimal de droits sociaux en deçà desquels les États membres ne devraient pas descendre. Les parlementaires frontistes considèrent qu’il s’agit d’une atteinte inacceptable à la souveraineté nationale.

De manière similaire, ils ont voté en septembre 2016 contre une résolution du Parlement européen sur la lutte contre le dumping social en Europe. Ils refusent donc de s’associer de quelque manière que ce soit aux efforts mis en œuvre par le Parlement européen pour l’améliorer. Il est vrai que de nombreuses voix à gauche sont sceptiques sur ces efforts, mais c’est surtout en raison de l’opposition des pays d’Europe de l’est, et non par refus de principe d’une action à l’échelle européenne.

Toujours selon la même logique, les eurodéputés FN ont voté contre la proposition d’un registre commercial transparent et accessible de toutes les entreprises de l’Union ; contre, encore, la création d’une agence européenne du transport routier, chargée de faire appliquer correctement la législation de l’Union et de promouvoir la coopération entre tous les États membres sur ces questions.

Une réalité à l’opposé du discours

À travers ces quelques exemples, on comprend donc que le FN a une pratique au parlement européen loin de son discours de soi-disant parti du peuple comme il le prétend sur ses affiches électorales pour les européennes. Il n’a eu de cesse de défendre en fait les intérêts de l’ultralibéralisme dont se réclame aujourd’hui l’Union européenne contre ceux des salariés européens.

Ne doutons pas que son frère jumeau, Dupont-Gnangnan, ait aussi peu le souci de la défense des intérêts du peuple que le parti avec lequel il n’a pas hésité à s’allier au second tours des présidentielles 2017.


Les responsables de la misère : les autres, surtout s’ils sont d’ailleurs !

L'accueil des réfugiés vu par La Peine et Dupont-Gnangnan

Ces deux faces de la même pièce sinistre ont le point commun d’avoir trouvé l’argument massue pour cacher leur vrai visage : la division par la haine de l’autre. Leur discours est simpliste et mensonger : en fait, les immigrés seraient le fer de lance d’un hypothétique grand remplacement et viendrait profiter d’un système social qui leur serait par nature plus favorable qu’aux français. Bon, on ne précise pas français de souche, mais le discours est suffisamment limpide pour qu’on le comprenne. En ce qui concerne le grand remplacement, on se demande pourquoi, mais là pas de réponse. En effet, ce serait l’objectif de cette vague migratoire supposée sans qu’on nous en précise la philosophie. Mais qu’à cela ne tienne. Et de vague migratoire, ce n’est pas en Europe : le flux total de migration, c’est-à-dire les immigrés légaux, entre 2010 et 2017 est de 85 millions de personnes (1), soit un taux de 11,4 pour 1 000. Ce chiffre tombe à 265 000 pour notre pays, soit un taux de 4,1 pour 1 000. Par comparaison, la Suède, c’est 74 100 pour un taux de 7,6 pour mille ; la Turquie, c’est 1 241 000 soit 15,9 pour mille ; le Liban c’est 202 500, soit 34,8 pour mille ! Continuons, le Royaume Uni, c’est 386 400 soit 5,9 pour mille ; l’Allemagne c’est 212 500 soit 2,6 pour mille. Donc, de ce point de vue, on remarque que l’Europe n’est pas, et de loin, dans le peloton de tête des pays d’accueil des immigrés. En réalité, la migration se fait plutôt sur des pays à frontière proche et principalement en Afrique, en Asie et en Amérique. C’est l’immigration massive entre 2017 et 2018 qui est notable. Elle est la conséquence des conflits qui s’éternisent au Moyen-orient et en Afrique. Cette immigration n’a pas de lien commun avec celle des années précédentes : il ne s’agit plus d’immigré économique, mais de réfugiés qui fuit la guerre et la répression. Et là, notre pays est loin d’être glorieux ! En effet, si l’Allemagne a accueilli 524 185 migrants qui ont demandé la protection de Berlin. Le deuxième pays est la France, avec 110 945 demandes d’asile, devant l’Italie (78 235). Suivent la Suède (61 065), l’Autriche (56 285) et le Royaume-Uni (27 770). Le classement reste le même si l’on considère les demandes validées. L’Allemagne a confirmé la demande de 325 370 étrangers en 2017. C’est plus de 60 % des décisions positives octroyées dans toute l’Union européenne. Suivent la France (40 575) et l’Italie (35 130), devant l’Autriche et la Suède. Le classement reste le même si l’on considère les demandes validées. L’Allemagne a confirmé la demande de 325 370 étrangers en 2017. C’est plus de 60 % des décisions positives octroyées dans toute l’Union européenne. Suivent la France (40 575) et l’Italie (35 130), devant l’Autriche et la Suède. À noter que, rapporté au nombre d’habitants, les trois plus gros pays d’accueil sont l’Allemagne (3 945 migrants par million d’habitants), l’Autriche (3 865) et la Suède (3 125). La France et l’Italie sont loin derrière. Elles ont accueilli respectivement 605 et 580 réfugiés par million d’habitants en 2017.

La légende de la vague migratoire s’effondre pour n’être plus qu’une flaque d’eau à peine signifiante. Mais comme nos apprentis fascistes ont de la suite dans les idées, ils prétendent maintenant que ces réfugiés n’auraient en tête que nos fameuses prestations auxquelles ils auraient droit. Ainsi, La Peine et Dupont-gnangnan crient à tue-tête qu’un réfugié et y compris en situation illégale, profiterait de plus d’avantages qu’un bon français (bien blanc de préférence). Qu’il suffit d’arriver en France à 65 ans pour toucher une retraite, et autres balivernes. Examinons cela de plus près…

I – Les minima sociaux


II – La protection santé


III – L’hébergement et le logements


IV - Les allocations familiales


V – Les transports

Tableau de synthèse


Conclusion

Le FN et DLF mentent monumentalement (2) ! Leur discours de haine et de peur ne vise qu’à assurer leur élection, sans aucun programme, dans le seul but de faire vivre leur petite entreprise. Au demeurant, à chaque fois que leurs cousins arrivent au pouvoir, de la Hongrie à l’Autriche, de l’Italie aux USA, rien ne va dans le sens de l’amélioration de la vie quotidienne de ceux qui créent la richesse. Bien au contraire, ce sont toujours les plus riches qui en profitent. Rappelons-nous ce que disait la droite française en 1936, soutenue financièrement par le patronat : « Plutôt M. Hitler que le Front Populaire ». Gageons que ce slogan a été mis au goût du jour en ce qui concerne La Peine et Dupont-Gnangnan, à la différence près que les plus riches ont un champion à leur opposer : Macron. Et entre ces trois sinistres, le jeu est clair. Pour les deux premiers, récolter les fruits du mécontentement pour leur petit commerce, pour l’autre utiliser les deux premiers pour sa fameuse ligne qui l’a fait élire en 2017 : « Moi ou le chaos ! ». Voilà leur petit jeu. C’est la reproduction de la mascarade du second tour des présidentielles de 2017. À nous de changer la donne et le résultat !

Bon, le FN s’appelle maintenant le RN… Mais ce n’est pas parce que vous nommez un taudis Villa de rêve qu’il n’en demeure pas moins un taudis...


(2) Emprunté à Jacques Prévert dans le poème "Il ne faut pas..." :

Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les allumettes Parce que Messieurs quand on le laisse seul le monde mental Messssieurs N'est pas du tout brillant Et sitôt qu'il est seul Travaille arbitrairement S'érigeant pour soi-même Et soi-disant généreusement en l'honneur des travailleurs du bâtiment Un auto-monument Répétons-le Messsssieurs Quand on le laisse seul Le monde mental Ment Monumentalement.

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